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[TOP] Les 10 meilleures comédies musicales françaises !

Nous connaissons tous ces airs, nous avons grandi avec… Depuis Starmania en 1979, les comédies musicales n’ont cessé de produire des tubes iconiques de la pop française. Tirées de classiques de notre littérature, de grands mythes universels, ou de la vie de personnages historiques, elles sont traduites dans toutes les langues et jouées à l’étranger. Alliant musique, danse, costumes et décors historiques, elles constituent un spectacle complet et une expérience unique.

Depuis la commedia musicale née en Italie au XVIIIème siècle, le genre s’est particulièrement développé au Etats-Unis au début du XXème siècle. La France n’a pas été en reste avec un genre s’y apparentant, apparu en 1715 : l’opéra comique, qui sera largement appelé à partir des années 1920-1930 « Opérette ». Avant d’adopter enfin son nom et sa forme actuelle dans les années 60, essentiellement par référence aux œuvres outre-Atlantique. De plus, on trouvait déjà, dès les XVIIème et XVIIIème siècles, des spectacles alliant musique et danses, avec les comédies-ballets et opéras ballets.

Alors, quelle est la meilleure comédie musicale ? Petite rétrospective sur les meilleurs spectacles jamais produits en France…

10ème meilleure comédie musicale : 1789, Les Amants de la Bastille (2012)

Produite par Dove Attia, Albert Cohen et François Chouquet, sur des musiques de Rod Janois, Jean-Pierre Pilot, Olivier Schultheis, William Rousseau et Dove Attia.

Le couple principal qui chantent ensemble.
© Félineda Farfelue. Tous droits réservés.

La Révolution est certainement LE plus grand mythe historique français ! Et le spectacle se veut à la hauteur du mythe… Cette fresque met en scène plusieurs personnages célèbres, comme Marie-Antoinette et son amant Fersen, puis bien sûr Danton, Desmoulins, Robespierre et Marat. Le tout, sur fond d’histoire d’amour tragique entre une noble et un révolutionnaire.

Mis en scène pour la première fois en 2012, Les Amants de la Bastille est le pendant du Roi Soleil (2005). L’un raconte l’avènement de la monarchie absolue, l’autre la chute de cette même monarchie. Le Roi Soleil s’ouvre sur la Fronde, et 1789 s’achève sur la Révolution. Dans les deux cas, les fêtes de Versailles sont l’occasion de chorégraphies particulièrement spectaculaires.

Côté prestations, Camille Lou est particulièrement éblouissante et forme un duo très attachant avec Louis Delort.

Meilleurs tubes : Ça ira mon amour, Je veux le monde

9ème meilleure comédie musicale : Le Rouge et le Noir (2016)

Produit par Albert Cohen et mis en scène par François Chouquet et Laurent Seroussi, sur des musiques de Zazie, Vicent Baguian, Sorel, William Rousseau.

Lumière rouge sur scène et flammes à l'arrière-plan, tandis que Julien chante.
© Caroline Aelion. Tous droits réservés. Description : Julien Sorel (Côme) dans Le Rouge et le Noir.

Adaptation du chef d’œuvre de Stendhal, célèbre pour son héros ambitieux et révolté, prêt à tout pour s’élever dans la société ! C’est une histoire d’ascension et de déchéance parle aux spectateurs de toutes époques.

Par rapport aux autres spectacles musicaux, on regrette seulement l’absence de danse et la sobriété de la mise en scène. Il y également beaucoup plus de passages parlés, et le spectacle semble en fait à mi-chemin entre le théâtre et la comédie musicale.

Mention spéciale, cependant, pour la chanson « La gloire à mes genoux », qui est incroyable ! Et aussi pour « La sagesse est de tous les âges » : du rock… en latin !

Meilleurs tubes : La gloire à mes genoux, Dans le noir je vois rouge, La sagesse est de tous les âges

8ème : Le Roi Soleil (2005)

Produite par Dove Attia et Albert Cohen, mise en scène et chorégraphiée par Kamel Ouali. Les paroles sont de Lionel Florence et Patrice Guiaro. Les musiques de nombreux compositeurs dont Dove Attia, Benoît Poher, Rod Janois, William Rousseau…

Un médecin et une dame du 17ème siècle qui dansent sur scène.
© Jean-Noël Lafargue. Tous droits réservés.

Avec une mise en scène et des costumes éblouissants, Le Roi soleil raconte l’ascension de Louis XIV et s’ouvre sur la Fronde, révolte populaire qui préfigure déjà la Révolution française. On croise à cette occasion nombre de personnages que connaissent bien les amateurs d’Histoire ou les fans de Dumas : le duc de Beaufort, le poète Scarron, Mme de Maintenon, Anne d’Autriche, Mazarin, Marie Mancini… Plus tard, Colbert, Molière, la marquise de Montespan et la sorcière La Voisin.

Le traitement de l’Histoire dans Le Roi Soleil :

Le changement d’époque à la mort de Mazarin est particulièrement bien rendu, et se situe d’ailleurs à la moitié du spectacle. Du point de vue du rythme, on pourrait cependant reprocher à cette comédie musicale de s’attarder un peu trop sur les amourettes du roi avec Marie Mancini. Tandis que l’épisode avec La Vallière, au contraire, n’est même pas évoqué, faute de temps.

Aucune mention, non plus, de l’arrestation de Fouquet, qui est pourtant un évènement important du règne de Louis XIV. L’affaire des poisons, en revanche, est très bien mise en scène. Globalement, on se focalise un peu trop sur les histoires de cœur du Roi Soleil, et on ne dramatise pas assez le glissement vers la monarchie absolue. Toutefois, avec une mise en scène, des chorégraphies, des costumes et une musique grandioses, le spectacle se rattrape largement sur le plan esthétique !

Certains morceaux comme « Ça marche » reprennent en fond des musiques de Lully. Les chorégraphies aussi réinterprètent dans un style moderne des danses de ballets classiques.

Le Roi Soleil est enfin le spectacle qui a révélé le chanteur Emmanuel Moire, ici Louis XIV.

Meilleurs tubes : Pour arriver à moi, Etre à la hauteur, Je fais de toi mon essentiel, Contre ceux d’en haut, Ça marche

7ème : Roméo et Juliette (2001)

Produite par Gérard Presgurvic, sur des musiques de Gérard Presgurvic et Carolin Petit, mise en scène par Carl Portal.

Les Capulet et les Montaigu, respectivement habillés tout en rouge et tout en bleu, chacun d'un côté de la scène.
Source : Facebook, Roméo et Juliette officiel. Tous droits réservés.

Reprenant l’ambiance baroque de Shakespeare, c’est probablement la comédie musicale qui a donné le plus de tubes célèbres !

Intrigues, drame et passion sont au rendez-vous dans cette histoire d’affrontement mortel entre deux clans, sublimée par des chorégraphies magnifiques et une mise en scène spectaculaire.

Confrontation épique dans « Le duel », séquence émotionnelle dans « Aimer », ou descente vertigineuse vers le drame avec « Demain », ce spectacle varie les registres et enchaîne les hits sur un rythme endiablé.

Enfin, mention spéciale aux deux très jeunes interprètes qui ont su transporter leurs publics : Cécilia Cara et Damien Sargue.

Meilleurs tubes : Vérone, Aimer, Les rois du monde, Le duel, Demain

6ème : La légende du Roi Arthur (2015)

De Dove Attia, sur des musiques de Dove Attia, Rod Janois, Zaho, Skread, Silvio Lisbonne, Nazim Khaled, Franck Authié. Les paroles sont de Dove Attia, Vincent Baguian, Zaho, Orelsan, Nicolas Boisnard, Antoine Elie.

Le roi Arthur assis sur son trône, et Guenièvre appuyée sur son épaule, qui semble lui donner des conseils. Tous deux regardent au loin d'un air déterminé.
Source : « Mon combat », clip officiel. Tous droits réservés.

La légende du roi Arthur continue de fasciner et a envahi la pop culture, notamment avec Kaamelott qui lui redonne en 2005 une notoriété incroyable.

Cette comédie musicale au style pop, teintée de passages slamés (merci Orelsan), contribue également à moderniser le mythe, tout en s’inspirant de musiques du folklore celtique. Avec beaucoup d’action et de combats sur scène, elle est particulièrement divertissante à regarder, bien que les paroles des chansons paraissent parfois moins engagées que dans d’autres spectacles.

Ce spectacle se heurte malheureusement à un projet trop ambitieux : résumer en deux heures toute la légende du Roi Arthur ! L’histoire de Morgane (Zaho), ainsi que la trahison de Guenièvre (Camille Lou) et Lancelot (Charlie Boisseau), sont cependant très bien respectées, et font partis des meilleures adaptations tous médias confondus. Morgane est d’ailleurs le meilleur personnage du spectacle : c’est une antagoniste complexe et sympathique au public, quoique capable à l’occasion d’être diabolique.

Meilleurs tubes : Mon combat (Tir Nam Beo), Quelque chose de magique, Dors, Morgane, dors

5ème : Molière, l’Opéra Urbain (2023)

De Dove Attia, sur un livret de Dove Attia et François Chouquet, composée par Dove Attia et Rod Janois, mise en scène par Ladislas Chollat.

Acteur en costumes du 18ème siècle aux couleurs électriques, avec des perruques multicolores et des masques inquiétants qui cachent leurs visages.
© Nathalie Robin. Tous droits réservés.

Nouveau pari du compositeur Dove Attia : après Mozart l’Opéra Rock, Molière l’Opéra Urbain, actuellement en tournée, est à nouveau un succès fou !

Ce spectacle enseigne, avec des musiques du XXIème siècle, la vie passionnante et méconnue de Molière, qui a refusé un poste prestigieux pour suivre sa passion. Et que Dove Attia décrit comme la première star de l’Histoire.

Entre Mozart et Le Roi Soleil

Si le titre rappelle surtout Mozart l’Opéra Rock, on retrouve aussi plusieurs personnages et évènements du Roi Soleil, notamment la Fronde et Louis XIV lui-même, puisque ce spectacle se déroule à la même époque ! Le roi, plus vieux dans ce spectacle, est devenu plus imposant, mais non moins flamboyant.

Comme dans Mozart l’Opéra Rock, le mélange de costumes du XVIIème et de moderne en met plein la vue ! On retrouve aussi le thème de l’artiste génial et passionné, qui se brouille avec son père puis doit faire face à ses ennemis, et qui semble courir tragiquement à sa perte… Molière constitue enfin un superbe hommage au théâtre, et plus généralement à tous les arts du spectacle.

Les paroles alternent de manière efficace entre langage volontairement moderne, et citations ou références aux pièces de Molière. Les chansons, reliées par des passages slamés plutôt que parlés, s’enchaînent sans aucun temps mort. Les danses sont incroyables !

Le tout, dans un style musical audacieux qui tranche avec les spectacles précédents, mélangeant rock, slam et rap pour donner de nouveaux tubes tout simplement bluffants. Et de jeunes talents formidables, notamment Shaïna Pronzola (Marquise), Abi Bernadoth (Prince de Conti) et PETiTOM (Molière)… A voir absolument !

Meilleurs tubes : Je m’appelle Jean-Baptiste, Regardez-moi, Moi je veux, Rêver j’en ai l’habitude, A quoi ça rime

4ème : Les Dix Commandements (2000)

Produite par Élie Chouraqui, Dove Attia et Albert Cohen, écrite par Lionel Florence et Patrice Guirao, mise en scène par Élie Chouraqui et composée par Pascal Obispo.

Ramses et Moïse, à l'époque où ils s'entendent encore bien, tous deux vêtus de doré et en costumes égyptiens.
Source : Dailymotion. Description : Ramsès et Moïse.

L’histoire de Moïse a souvent été adaptée en musique, notamment avec le film d’animation Le Prince d’Egypte, qui a des chansons magnifiques. Grand mythe commun aux trois religions monothéistes, il s’agit également d’une histoire dramatique, en raison du conflit insolvable entre Moïse et son frère adoptif Ramsès.

Ici, les somptueux décors égyptiens changent de la plupart des autres comédies musicales, qui se déroulent généralement en France, autour du XVIIIème siècle. Mise en scène pour la première fois en 2000, Les Dix Commandements demeure un classique indémodable de la scène musicale française.

Mention spéciale au regretté Daniel Levi dont la voix cristalline a marqué de son empreinte toute une génération.

Meilleurs tubes : L’envie d’aimer, La peine maximum, Mon frère, Le dilemme

3ème meilleure comédie musicale : Notre-Dame de Paris (1998)

Produite par Charles Talar, composée par Richard Cocciante sur les paroles de Luc Plamondon et le, mise en scène par Gilles Maheu et chorégraphiée par Martino Muller.

Quasimodo, Frollo et Phoebus qui chantent à tour de rôle autour d'Esméralda.
 Source : Notre-Dame de Paris, représentation de 2023. © Nathanaël / Sortiraparis. Tous droits réservés.

Tirée du chef d’œuvre de Victor Hugo, qui se déroule en 1482, à la veille de la Renaissance et au crépuscule d’un Moyen-Age archaïque et obscur, la comédie musicale Notre-Dame de Paris reprend cette angoisse de fin de siècle en l’appliquant à l’approche de l’an 2000. Elle prouve ainsi l’intemporalité des thèmes d’Hugo en les appliquant à des enjeux du XXIème siècle.

Notre-Dame de Paris a une longue histoire d’adaptations musicales…

Déjà en 1836, Victor Hugo avait adapté son propre roman en un opéra, La Esméralda, avec un livret écrit par lui-même et sur une musique de Louise Bertin. Cet opéra peut encore être écouté intégralement sur YouTube.

Comme airs de La Esméralda, je peux vous conseiller « A Notre-Dame, venez tous voir… » , « L’air des cloches » et « Ô ciel ! » Cette dernière est la chanson de l’archidiacre Frollo, soit l’ancêtre de « Hellfire » dans Disney et « Tu vas me détruire » dans la comédie musicale moderne… Les paroles « Démon qui m’enivres, / Qu’évoquent mes livres, / Si tu me la livres, / Je me livre à toi ! » et « Reçois sous ton aile / Le prêtre infidèle / L’enfer avec elle, / C’est mon ciel à moi ! », rédigée par Victor Hugo, étaient déjà incroyablement stylées !

La comédie musicale Notre-Dame de Paris est réalisée en 1998, soit deux ans après le film d’animation The Hunchback of Notre-Dame (Le Bossu de Notre-Dame) de Disney, qui se distinguait lui aussi par des musiques incroyables et un style très proche des comédies musicales. On pensait qu’il était impossible de faire mieux que « Hellfire » et « Bells of Notre-Dame » … Eh bien, les Français l’ont fait, avec « Belle » et « Le temps des cathédrales » !

Le spectacle de 1998 s’inspire en partie des musiques romantiques de l’époque d’Hugo. Les paroles des chansons sont bien sûr inspirées de la poésie d’Hugo, et reprennent parfois même des citations du roman. Notamment la phrase la plus célèbre : le laconique « Ceci tuera cela ».

Côté prestations, la comédie musicale nous aura révélé la talentueuse Hélène Ségara, ainsi que Garou et Patrick Fiori. Mention très spéciale à Julie Zenatti, qui interprète Fleur-de-Lys, l’amante promise de Phoebus.

Meilleurs tubes : Le temps des cathédrales, Belle, Les sans-papiers, Bohémienne, La monture, Tu vas me détruire, Florence (Ceci tuera cela)

Extrait :

Source : YouTube. Chanson « Le temps des cathédrales », interprétée par Bruno Pelletier.

2ème meilleure comédie musicale : Starmania (1979)

Produite par Roland Hubert, composée par Michel Berger sur un livret de Luc Plamondon, mise en scène par Tom O’Horgan, et chorégraphiée par Serge Gubelmann.

Un homme et une femme, tous deux en blousons de cuir noirs et avec des cheveux longs et frisés typiques des années 80, qui chantent ensemble.
Source : « Coup de foudre », Starmania, représentation de 1988. Tous droits réservés.

Composée par Michel Berger, elle a lancé en 1979 la mode des spectacles musicaux en France et elle a défini les codes des comédies musicales à la française. A l’époque, c’était un spectacle complètement novateur.

C’est aussi l’une des seules comédies musicales qui ne s’inspire pas d’une œuvre littéraire ou d’un personnage historique, mais qui raconte au contraire une histoire originale. Elle met en scène une bande d’anarchistes qui sèment la panique dans la ville totalitaire de Monopolis et préparent une révolution. Avec des thèmes parfois visionnaires, et toujours d’actualité.

Les musiques sont inspirées des plus grands titres américains de l’époque. Avec également beaucoup de références à David Bowie dans les paroles.

La version de 1979 était d’ailleurs interprétée par des musiciens français et américains célèbres : bien sûr Michel Berger au piano, mais aussi les frères Brecker au saxophone et à la trompette, ou encore Jim Keltner à la batterie. Côté chanteurs, France Gall incarnait la journaliste Cristal, et Johnny Rockfort était joué par Daniel Balavoine.

Meilleurs tubes : Quand on arrive en ville, Le blues du businessman (J’aurais voulu être un artiste), Travesti, SOS d’un terrien en détresse, Le monde est stone, Un garçon pas comme les autres (Ziggy), Les uns contre les autres

Extrait :

Source : YouTube. Chanson « Quand on arrive en ville » dans la version filmée de 1988.

…Enfin, LA meilleure comédie musicale française : Mozart, l’Opéra Rock (2009)

Produite par Dove Attia et Albert Cohen, notamment composée par Dove Attia, François Castello, Jean-Pierre Pilot, Rod Janois, Philippe Uminski…sur des paroles de Dove Attia, Vincent Baguian, Philippe Uminski, François Chouquet, Patrice Guirao. Mise en scène par Olivier Dahan, et Dan Stewart.

Mozart qui danse sur scène. Derrière lui, des figurants en costumes du 18ème siècle.
Source :  mikelangelo–mozart.skyrock.com. Tous droits réservés. Description : Mikelangelo Loconte dans Mozart L’Opéra Rock.

Mozart l’Opéra Rock a fait un pari risqué : celui de raconter à travers des morceaux colorés de rock la vie romanesque et dissolue de Mozart, tout en dévoilant sa personnalité excentrique et tourmentée… Pari réussi, puisque la comédie musicale interprète à nouveau la légende du plus grand génie de la musique, avec pour ambition de dépoussiérer son image auprès des jeunes et d’enseigner son histoire, que le film Amadeus en 1984 avait déjà mis en scène.

Avec des costumes magnifiques du XVIIIème siècle et de très belles variations, voire des reprises des plus grands morceaux de Mozart comme le « Dies Irae » et le « Lacrimosa » de son fameux Requiem, et ses chasons « Ah vous dirais-je, maman », « L’air de la reine de la nuit » dans La flûte enchantée – et tant d’autres, Mozart l’Opéra Rock est certainement le meilleur hommage jamais rendu à ce compositeur de génie.

Sans compter qu’avec Salieri (interprété par l’excellent Florent Mothe), Dove Attia met en scène l’un de ses meilleurs antagonistes. La chanson « L’Assasymphonie » est probablement le meilleur tube de comédies musicales de tous les temps : au-delà de l’incroyable trouvaille du titre, la composition et son arrangement sont un modèle de ce qui peut se faire en termes de chansons inspirées du classique.

Meilleurs tubes : L’Assasymphonie, Tatoue-moi, C’est bientôt la fin, Le bien qui fait mal, Bim Bam Boum, Six pieds sous terre, Dies Irae

Extrait :

Source : YouTube. Chanson « L’assasymphonie », interprétée par Florent Mothe.

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Umeboshi : prune japonaise séchée et amer

Article rédigé par Umeboshi

Rédactrice, Relectrice SEO, Community Manager, enfant prodige, passionnée d’univers gothiques, mangaphile, parle le japonais couramment, a rédigé une thèse de 80 pages sur JoJo’s Bizarre Adventure.

Comments

4 réponses à “[TOP] Les 10 meilleures comédies musicales françaises !”

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  2. […] Alan Menken a réussi à s’imposer comme le compositeur attitré de Disney dans les années 90. On lui doit notamment les succès des titres de Pochaontas, La petite Sirène, ou encore, Aladdin, et les musiques du Bossu de Notre Dame. Ce génie s’est illustré dans des styles parfaitement opposés, passant de la chanson aux accents orientaux, à celle plus classique de l’Eglise du XIXème. Ici, nous nous trouvons une musique classique et aussi romantique qu’elle est romanesque. […]

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  4. […] peut penser par exemple au roman Le Rouge et le Noir de Stendhal… Est-ce une coïncidence ? Le héros, Julien Sorel, est introduit exactement de la […]

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