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Emeric Solon est un auteur français auto édité, fan de mythologie, de pop culture, et de fantaisie. Il nous embarque dans le mythe de l’Atlantide pour son tout premier roman.

L‘Atlantide de Emeric Solon, son premier roman l’île perdue

Ce livre n’est pas un service presse, mais j’ai pu échanger régulièrement avec l’auteur, qui m’accorde sa confiance et me laisse un libre choix dans la réalisation de cette critique. Et je l’en remercie.

Le Résumé : L’Atlantide l’île perdue

À l’automne 2003, Jake Jones disparaît soudainement après avoir fait une découverte majeure sur une mystérieuse île perdue.

Seize ans plus tard, Noah, son fils ainé, tente d’échapper tant bien que mal au harcèlement physique et moral qu’il subit depuis des années.

Tout change lorsqu’il découvre une lettre manuscrite de son père, accompagnée d’une énigmatique pierre dorée.

Convaincu que son père est toujours en vie, Noah se lance alors dans une quête extraordinaire pour le retrouver.

Mais Viktor Salazar, un jeune homme hautain et méprisant, est également à la recherche de Jake Jones. Déterminé, il fera tout pour être le premier à percer les secrets les mieux gardés de l’Antiquité.

Entre créatures mythiques et pouvoirs élémentaires, sauront-ils se débrouiller dans ces lieux hostiles ? Qui de nos deux apprentis aventuriers parviendra en premier jusqu’à Jake : celui en quête de gloire ou le fils aimant ?

Notre avis sur le tome 1 L’Atlantide : l’île perdue

Une lecture très immersive dès les premiers chapitres, on retrouve énormément de dialogues, ce qui vient dynamiser le récit. Et l’alternance des points de vue apportent du rythme à la lecture.

Ce premier tome fait peut être 677 pages, mais je vous garantie que c’est un vrai page-turner. On le lit facilement en quelques heures ou quelques jours selon votre vitesse de lecture.

L’ajout d’une carte de l’univers est un vrai atout, elle permet de s’immerger davantage. Le world building est complet, que ce soit pour les autochtones, la faune et la flore, ou encore pour les pouvoirs des Atlantes.

L’auteur propose de nombreux plot twists, et alterne les points de vue à chaque rebondissement. Ce qui nous frustre mais nous donne tant envie de continuer pour découvrir la suite .

On trouve quelques trigger warning comme « le sacrifice animal explicite », « disparition d’un proche », « mort d’un proche », « description explicite de blessures », « alcoolisme », « violence », « harcèlement scolaire », « violences physiques », « violences psychologiques ». C’est donc bien évidemment un livre pour un public averti ou de +16 ans.

Vous l’aurez compris cette réécriture du mythe de l’Atlantide est incroyable pour la passionnée de mythologie grecque que je suis.

Pour conclure cette chronique

C’est un livre qui se lit rapidement, qui est immersif. Les chapitres sont courts, les points de vue sont alternés.

La plume fluide nous transporte jusqu’aux derniers mots de ce voyage en Atlantide, c’est un récit fantastique sur la mythologie grecque. Amateurs ou amoureux de l’Atlantide, cette histoire est forcement faite pour vous. Et si vous souhaitez correspondre avec l’auteur, c’est faisable via son compte Instagram.

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Enjoyreading déguisée en sorcière avec un chaudron vert

Article écrit par Enjoyreading, lu et corrigé par Tsilla Aumigny

Influenceuse littéraire, étudiante préparatrice en pharmacie, reine ultime du blind test, sorcière à ses heures perdues.

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