Les Teen dramas ont été déclinés sous plusieurs formes. Dans différents univers : comics, fantastiques, ou sportifs. Ils n’en restent pas moins toujours fondés sur des codes qui fonctionnent à coup sûr ! Voilà pourquoi ils ont du succès et pourquoi vous devriez les regarder.
Les nouvelles aventures de Sabrina, Riverdale, Les Frères Scott, La chronique des Bridgerton, Gossip Girl, Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, Buffy contre les vampires, Vampire Diaries, Sex Education…Des séries que tout le monde connaît, que tout le monde critique pour la qualité de leur scénario. Pourtant, tout le monde les regarde (ou presque) ! On vous explique en cinq arguments imparables pourquoi vous devriez vous y mettre !
1) Les personnages des teen dramas : attachants et improbables
Le décalage entre l’univers dans lequel se déroule l’intrigue et le caractère des personnages est l’intérêt primordial de ces séries. Elles fonctionnent sur un nombre restreint de personnages principaux (3 à 7). Ils forment un groupe uni d’adolescents souvent incarnés par des acteurs âgés de 15 à 30 ans. Leur particularité ? Ce sont des personnalités hétérogènes, afin que les spectateurs et spectatrices puissent s’y identifier aisément. Cependant, certains personnages ne se seraient jamais liés d’amitié dans la réalité.
Un exemple ? Vampire Diaries ! Qu’Elena, Bonnie et Caroline soient amies malgré leur tempérament et leur caractère diamétralement opposés, passe encore ! En effet, Bonnie a tendance à souffrir d’amour sacrificiel, tandis qu’Elena est moralisatrice. Quant à Caroline, elle a de sérieux problèmes compulsifs : elle aime TOUT contrôler. Caroline est une Queen Bee, alors que Bonnie et Elena sont plus introverties. Il ne serait pas impossible que des personnes aussi différentes puissent être amies dans la réalité, d’autant plus qu’elles se sont connues dans leur plus tendre enfance. Mais comment expliquer leurs relations d’attirance ou d’amitié avec Tyler, Matt, Alaric et les frères Salvatore ? La réponse tient probablement à la raison numéros 2 !
2) Les scénarios des teen shows : délirants
Une baby-sitter psychopathe, des assassinats, des enlèvements, une tempête qui ravage la ville, des agressions à main armée, de la drogue, des Queen Bee, des ados enceintes, des enfants adoptés, des frères et sœurs découverts par les héros au hasard d’un épisode, des plans à trois…Dans ces séries, aucun rebondissement n’aura été épargné aux personnages ! Les frères Scott offrent un panel assez varié des scénarios inimaginables (attention spoil). Un détraqué attaque Peyton en se faisant passer pour son frère, la séquestre et tente de la violer. Pourquoi pas ? Brooke enfile un costume de super héros et traverse la ville ainsi parée, car au bout de huit saisons les scénaristes sont clairement dans une détresse créative ! Où est le problème ? L’équipe de la Revue de la Toile adresse même une mention spéciale à la jumelle narcissique et sociopathe de la femme décédée de Clay qui tente de les tuer lui et Quinn (cette phrase a-t-elle du sens ?). De toutes, elle demeure certainement l’une des figures emblématiques de cette série et de ces histoires aussi dramatiques qu’improbables.
Les teen dramas cassent l’effet de réel
De plus, les réalisateurs, dialoguistes et scénaristes jouent et s’amusent à briser le quatrième mur. C’est-à-dire que les personnages s’adressent directement aux spectateurs, alors qu’ils ne devraient pas, puisqu’ils ne devraient pas être conscients d’être des personnages de fiction. Certains d’entre eux n’hésitent pas à rire des décors, ou des éléments scénaristiques. La carte de l’autodérision est jouée à plusieurs reprises. Par exemple, dans Gossip Girl, Vanessa s’amuse à créer une association à but non lucratif pour aider les victimes de maladies vénériennes. Elle lui donne le nom du casanova de la série : Chuck Bass. La palme de l’autodérision revient aux orphelins Baudelaire, qui se moquent dans leurs dialogues et dans la mise en scène de leurs aventures improbables.
Contrairement aux séries qui tentent d’être crédibles, les teen dramas brisent cette sacro-sainte notion qu’est l’effet de réel. L’effet de réel, c’est le concept qui vous donne l’impression que l’événement pourrait aussi vous arriver. Ces séries s’autorisent tout, peu importe les événements, tant que ça choque et que ça plaît. Si les trames scénaristiques ne sont terriblement pas plausibles, les réactions de ses personnages dans toutes les situations, mêmes les plus impensables, sont néanmoins tout à fait vraisemblables. Par conséquent, l’audience ne peut qu’accrocher. Finalement, en rajoutant trois dragons, de l’inceste et des morts-vivants au scénario, vous obtenez un épisode de Game of Throne. lrrationnel. Fictif. Jouissif.
Les teen shows rappellent sans cesse au spectateur qu’elles ne sont que des fictions, que leur rôle est de vendre du rêve, des émotions fortes, et de livrer des réflexions sur la vie. Le spectateur ainsi captivé devient vite accro. Les scénarios improbables ont véritablement contribué à leur succès : parce que les réalisateurs ne se disent pas : « mais c’est n’importe quoi !« . Ils réalisent les épisodes en se demandant plutôt « comment faire ? « . Le résultat est plus ou moins bien réussi. En effet, certaines saisons connaissent des problèmes de rythmes, avec des épisodes addictifs, et d’autres qui sont plutôt longs et inutiles. Riverdale en est le parfait exemple.
3) Les couples : ou comment tout le monde sort avec tout le monde
Les moments les plus forts de ces séries, ne sont pas nécessairement les épisodes les plus dramatiques, mais les revers des relations (amoureuses ou filiales) des personnages. Les couples formés au cours des saisons ne sont que des stéréotypes prémâchés par quelques siècles de Littérature. Nous retrouvons :
Roméo et Juliette :
Leur amour est impossible pour nombre de raison : ils n’appartiennent pas au même groupe social, leurs familles se détestent, leurs chaussures ne sont pas assorties, leurs enfants sortent ensemble…Ils formaient ou formeraient un couple magnifique et mythique, mais le destin, un événement tragique, ou les producteurs, les séparent. Ils renoncent finalement l’un à l’autre, même s’ils se souviendront de leur relation pour l’éternité. Triste. Tragique. Romantique.
Ross et Rachel (ou Ted et Robin, si vous préférez How I Met Your Mother) :
Ils n’appartiennent pas au même monde, elle est une poupée, il est intellectuel. Il l’admire, elle n’aurait probablement jamais remarqué son existence si toute l’histoire de la série ne tournait pas autour de leur relation et de leur groupe d’amis. Ou inversement : c’est une intellectuelle, lui un sportif qui fleure la testostérone et le parfum de la transpiration à peine masquée par son déodorant parce qu’il faut montrer des abdos ruisselants à l’écran. Ou ce sont des personnages qui viennent de milieux différents. Ou alors, leur caractère est à la fois opposé et complémentaire. Une prude et un coureur de jupons. Une humaine et un vampire. Une ado solitaire et un thérapeute sexuel en herbe. Comme des frères ennemis, ils s’aiment, il se détestent. Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis. Ils se cherchent, se trouvent parfois, se rapprochent, se séparent. Pour se marier, au bout de huit saisons, alors que depuis le début, on savait qu’ils finiraient ensemble.
Valmont et Merteuil (ou Bonnie and Clyde) :
Ou la relation toxique par excellence, mise en scène de façon éperdument romantique ! Dans la réalité, ce type de relation mène à une thérapie qui devrait durer quelques années…Les protagonistes parient, ils jouent, ils se manipulent, ils se mentent. Ils se détestent et se haïssent, même si au fond, ils s’aiment profondément. La tension sexuelle qui les parcourt est palpable. Leur relation est aussi dangereuse qu’excitante. Ils ne peuvent exister l’un sans l’autre. Ils finissent par se tuer ou par se marier. Parfois, les deux.
Le triangle amoureux :
Toutes ces séries ont excellé dans l’Art du triangle amoureux, à chaque saison. Les scénaristes ont rivalisé d’ingéniosité pour les inventer ! Et comme à chaque fois, ça ne peut que fonctionner. Qui dit triangle amoureux dit trahison, mensonge, tromperie…et coups bas en tous genres ! Un régal pour les acteurs, les producteurs et les spectateurs.
Ulysse et Pénélope :
Ensemble du début à la fin, qu’importe les naufrages et les tempêtes. Leur couple est incassable. Ils font le bonheur des fans, qui voient un idéal à atteindre, et le bonheur des scénaristes qui créent des péripéties pour mettre leur couple en péril, dans l’unique but de vous prouver que l’amour est plus fort que tout.
Le veuf ou la veuve nostalgique :
Qu’est-ce qui est encore plus fort et plus tragique qu’un couple qui s’aime et qui se sépare ? Un couple qui s’est aimé fort, et dont l’un des partenaires n’est plus. En se rappelant ses bons vieux souvenirs, ce personnage est à la fois touchant et dramatique. Il nous fait aimer l’amour.
Le couple improbable :
Fruit de la détresse créative des scénaristes, ils satisfont quelques fans, tandis qu’ils font rire les autres. Sa formation met en lumière le déclin de la série et son arrêt imminent.
4) L’art de promouvoir la culture classique à travers la pop culture
Depuis l’arrivée de ces séries, la culture est devenue aussi rayonnante que les personnages qui l’apportent. Jamais devenir écrivain ou musicien rock n’aura été aussi badass. Du fond de leur tombe, Hendrix et Sheakspeare vous en remercient.
De la musique, des classiques musicaux, de la Littérature, des Tableaux, des artistes du moment. Chaque série a revalorisé le patrimoine culturel. Chaque teen drama a rendu ses lettres de noblesse à une culture délaissée au profit de la télé-réalité et de ses recettes astronomiques. Avant ces séries, rien n’était plus ennuyeux que de regarder un tableau de grand peintre, ou d’écouter des vieux CD de Led Zepplin.
Les Teen Dramas remettent la culture classique au goût du jour, par des références dans les dialogues ou la mise en scène. Dans Sex Education, Maeve ne cache pas son amour pour Virginia Wolf et Jane Austen, deux autrices féministes. Dans les nouvelles aventures de Sabrina, ce sont les mises en scène et les décors qui servent constamment de panorama culturel. Les showrunners ont choisi de détourner des représentations bibliques de célèbres tableaux comme la Cène de De Vinci dans l’épisode « Les miracles de Sabrina ». Quant au final de la série, il reprend la mélodie Masquerade du Phantom of the Opera.
De plus, les teen dramas renouvellent les icônes et les thèmes de la pop culture. Les vampires de Buffy, True Blood ou de Vampire Diaries en sont la preuve. Ces créatures fantastiques damnées, qui étaient initialement des morts-vivants, ont confirmé, avec l’essor des teen dramas, leur statut d’icône terriblement sexy, acquise grâce à la popularité du film et du livre Entretien avec un vampire. Toutefois, elles ont de nouvelles capacités et se sont fait de nouveaux ennemis comme la Verveine (à vos tisanes pour lutter contre les Vampires).
5) Des inégalités dénoncées et critiquées par les teen shows !
Par ailleurs, les teen dramas ne sont pas qu’un ramassis de phrases qui ne sont là que pour faire frémir les midinettes. Ces shows apportent aussi de véritables réflexions sur la vie. Des réflexions dans lesquelles chacun(e) peut se retrouver :
« Je sais que vous me prenez toutes pour une idiote, mais je suis pas une idiote. J’accepte de jouer ce rôle que vous me donnez parce que vous en avez besoin (…). Bientôt, on va tous quitter le lycée, et je deviendrai ce que je veux, mais ça sera beaucoup plus dur pour ceux que ses images et ces étiquettes arrangeaient bien. » (Bevin dans Les frères Scott)
Les teen dramas plaisent tant aux adolescent(e)s et jeunes adultes car ils s’y projettent facilement. Ces séries mettent en avant des personnages à la limite de la caricature, tout en leur octroyant une personnalité unique. De plus, elles critiquent les différentes formes d’inégalités auxquelles nous sommes confronté(e)s chaque jour. Ainsi, sexisme, racisme, ségrégation sociale, homophobie, validisme, harcèlement sont au centre de toutes les intrigues. Les teen dramas ne sauraient être réduites à des histoires de cœur et des scénarios improbables.
Des séries qui critiquent l’image que la Société renvoie des femmes
Par exemple, jamais vous n’entendrez : « L’anorexie est une maladie. Ce n’est pas une mode. » ailleurs que dans Les frères Scott, qui loue pourtant la Mode et défend son intérêt artistique. Skins nous offre une représentation réaliste de ce trouble alimentaire, notamment dans les épisodes dédiés à Cassie. Gossip Girl évoque ce trouble à travers l’histoire de Blair.
Bien que la plupart des actrices des teen dramas soient magnifiques, peu d’entre elles affichent une taille 0. Cette critique de l’usage que la Société de consommation fait d’une maladie mentale a permis d’ouvrir une brèche et d’éveiller les jeunes consciences. Ces séries ont montré l’anorexie telle qu’elle est véritablement. Il s’agit d’un trouble alimentaire, et non pas un d’un idéal à atteindre. Les teen dramas ont le mérite de démontrer à quel point il est compliqué de lutter contre cette maladie.
Outre l’anorexie, ces séries font l’apologie de l’avortement, soit en le représentant avec justesse, comme dans Degrassi ou Sex Education, soit en l’abordant dans les dialogues et les situations vécues par les personnages. Elles montrent également à quel point une grossesse peut être difficile à vivre dans cette période déjà complexe. C’est le cas dans Glee. Ainsi, la grossesse adolescente ou l’avortement sont traités sont comme des choix que font les adolescentes en connaissance de cause, et non comme des sujets prétextes à faire la morale. Que la grossesse soit assumée ou avortée, elle est le fruit d’une profonde réflexion.
Des séries gay friendly
Buffy contre les vampires a été la première série à porter et montrer deux personnages ouvertement lesbiens. À une heure de grande écoute. Dans une série destinée aux adolescent(e)s. Et ce, dans un autre but que celui de faire fantasmer les fans. Pretty Little Liars a poursuivi dans cette veine, en montrant à quel point l’homosexualité pouvait être difficile à vivre et faire accepter à son entourage. Degrassi, La nouvelle promo a renouvelé l’exploit en nous présentant le premier personnage gay de confession musulmane. Quant à Riverdale, elle dénonce ouvertement les centres religieux et les thérapies de conversion toujours en vogue aux States. Les nouvelles aventures de Sabrina et Degrassi introduisent même un personnage trans !
Les teen dramas mettent habilement en scène les personnages qui s’interrogent sur leur sexualité. C’est d’ailleurs le fil conducteur de Sex Education. Leur public étant majoritairement composé par des jeunes qui se posent ces questions, il est important de leur donner un échos favorable et positif sur leur identité sexuel. Ces shows prônent et défendent l’idée selon laquelle être gay n’est pas un choix. Rejeter son enfant, son ami(e) ou son camarade à cause de sa sexualité, l’est.
Des séries qui ont cassé les codes et éveillé les consciences
Finalement, ce sont ces séries qui ont permis de faire évoluer les consciences. Elles sont pionnières dans le traitement de certains sujets tabous, comme le racisme ordinaire, la ségrégation sociale, le validisme, le suicide, le viol ou le harcèlement. Au moins deux teen dramas ont traité avec brio le topos (lieu commun) de la fusillade : Degrassi, nouvelle génération et Les frères Scott. Les deux dramas ont repris une triste réalité : un jeune harcelé par des personnes populaires décident de prendre en otage un lycée, avant de se suicider. Contrairement à 13 reasons why, toute l’intrigue ne tourne pas autour de ce drame, mais le harcèlement n’en demeure pas moins pointé du doigt. 13 reasons why a repris les codes des teen dramas, tout en s’en détachant, afin de créer un show unique. Le scénario se centre autour des raisons pour lesquelles un(e) adolescent(e) peut en venir à commettre de tels actes.
De même, tous les teen shows abordent le viol, ou montrent des tentatives de viol. Véronica Mars est sûrement le teen drama qui l’a représenté de la façon la plus percutante et la plus réaliste à travers le souvenir de son personnage principal. Veronica Mars et tant d’autres ont contribué à dire l’indicible, dans des société où le #metoo n’avait pas alors été inventé. Elles ont probablement permis indirectement l’avènement de ce mouvement d’ampleur international, en mettant en scène des viols réalistes. Commis par un proche de la victime, souvent lors d’une soirée, alors qu’elle avait été droguée.
La ségrégation vivement démontée
Enfin, le tabou de la ségrégation ordinaire est aussi abordé. Que ce soit des personnages qui subissent du racisme ou qui soient racistes, des personnages handicapés, ou pauvres. Les teen dramas démontrent aussi le poids du regard que porte la société sur ces personnages qui n’ont pas les mêmes moyens et les mêmes chances que les autres. Qu’ils soient handicapés, ou socialement discriminés à cause de la couleur de leur peau ou de leur religion, ils se relèvent toujours des obstacles qu’ils ont à franchir. La force des teen dramas est de mettre en lumière ces obstacles, et l’inégalité des chances qui persiste toujours dans nos sociétés. Elles le font autrement que les autres séries, puisque les personnages qui sont discriminés, sont aussi populaires. La plupart du temps. C’est notamment le cas dans Smallville ou Sex Education. La série qui a réussi ce paris avec brio est Atypical. Elle est parvenue à sensibiliser sur l’autisme tout en montrant un jeune réussir.
Daria, série animée, qui n’est pas un teen drama mais qui en reprend les codes, traite de ces problématiques avec une tonalité cynique. Cette série atypique, qui se moque des teen dramas, est en fait l’un des teen dramas les plus réussis. Daria réalise une satire de la société et de ses inégalités, grâce à ses réflexions pertinentes, teintées d’ironie. Le personnage principal, outsider véritable, porte un regard critique et mature sur sa jeunesse et ses tourments.
Derrière les drames, un message positif
Ces séries adressent aux adolescent(e)s un véritable message d’espoir. Les personnages insistent régulièrement sur l’importance de se battre, d’affronter ses peurs, et de prendre des risques pour réaliser ses rêves. En effet, les personnes subissant de telles inégalités, dans les médias, sont peu représentées. Lorsqu’elles le sont, elles ne tiennent pas de postes à responsabilités, ou ne sont pas populaires. Elles ne sont que rarement mises en avant.
Dans ces séries, ces personnages sont reines du lycée, sportifs qui parviennent à gagner toutes les victoires, marginaux qui finissent par trouver leur place dans le monde. Ces personnages sont capables de tout pour protéger ceux qu’ils/elles aiment. Ce sont des adolescent(e)s a priori sans histoire qui désirent réaliser leurs rêves et qui mettront en œuvre tous les moyens pour y parvenir. Les teen dramas nous montrent des personnages forts, sensibles, capables de se relever de tout : des petits comme des grands drames. Rares sont les séries qui donnent autant la parole et le pouvoir aux adolescent(e)s, en retraçant avec justesse ses troubles ordinaires.
Relu par Margot Dupont
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Rédigé par Tsilla Aumigny
Rédactrice en Chef, ex-Enseignante en Lettres Classiques certifiée, Autrice de roman, Scoute toujours, Jedi à ses heures perdues, Gryffondor.
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